Cette classification, même si elle n’est pas parfaite, a le grand mérite de poser des bases essentielles. On constate aujourd'hui que chaque catégorie se divise officieusement en sous-catégories (A+, B low, B middle, B+...). C'est dans la catégorie B que l’on trouve à la fois le plus de pratiquants, et de fait le plus grand nombre de modèles proposés par les fabricants. C’est aussi dans cette catégorie que l’on trouve le plus d’écart entre le début, concernant les ailes B-, et le haut, concernant les ailes B+.
Pour la catégorie C, il n’y a pas véritablement encore de C- ou C+, mais cela devrait arriver avec la cohabitation, dans cette catégorie, d’ailes en 2 lignes et en 3 lignes.
En revanche, pas de - ou de + dans la catégorie des ailes EN D, qui sont destinées à des pilotes ayant le niveau maximal de compétences. Pour cette gamme de voiles, les concepts sont très proches d'une aile à l’autre. Elles sont toutes en 2 lignes et elles frôlent ou dépassent les 7 d’allongement. Pour les ailes de compétition CCC, la question ne se pose pas et il y a très peu de modèles qui soient aboutis. Depuis des années, Ozone domine le marché avec ses très célèbres Enzo.